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La pubalgie est une problématique que l’on retrouve généralement chez les sportifs. En cas de pubalgie, les douleurs vont généralement concerner les adducteurs, les plis de l’aine et/ou la symphyse pubienne. En général, la pubalgie va pouvoir durer de 6 mois à 3 ans.

C’est un traitement multidisciplinaire qui fonctionne le mieux pour soigner la pubalgie. Je conseille au patient souffrant de pubalgie de faire l’essai avec un ostéopathe. Si cela n’est pas suffisant, je recommande au patient de pouvoir cumuler l’ostéopathie à la kinésithérapie ainsi qu’à un suivi avec leur médecin traitant. Dans certains cas bien précis, les semelles orthopédiques réalisées par un podologue peuvent contribuer à améliorer les symptômes.

Il faut savoir que la pubalgie est multifactorielle, c’est-à-dire qu’il existe de nombreuses causes à l’apparition de la pubalgie.

Voici les différents facteurs qui participent à provoquer une pubalgie :

– inégalité de longueur des membres inférieurs.

– surentraînement.

– conditions d’entraînement (chaussures à la semelle rigide, sol dur : surface bétonnée…).

– stress.

– douleurs lombaires récurrentes et discopathies du rachis lombaire bas.

– dysfonctions du bas ventre (digestif, gynécologique …).

A noter que le diagnostic de pubalgie peut se faire par simple examen clinique du médecin et/ou de l’ostéopathe. Il n’est pas nécessaire de réaliser des examens complémentaires pour poser ce diagnostic-là.

Les anti-inflammatoires peuvent être une étape nécessaire afin de réduire l’intensité des douleurs en cas d’inflammation trop importante. L’infiltration est à éviter car très douloureuse pour cette zone. Et les opérations sont prévues principalement pour les sportifs de haut niveau, pour qui le retour à la compétition doit être fait le plus vite possible.

Retrouvez mon étude sur la pubalgie sur LinkedIn. Cette étude a d’ailleurs été présentée en novembre 2012 lors d’un Congrès International d’Ostéopathie sur la recherche :

Voici quelques exemples de patients venus me voir pour pubalgie :

Exemple 1 : Patient de 15 ans, étudiant, pratiquant le Handball. Le patient est venu me consulter pour des douleurs intéressant les 2 plis de l’aine. L’examen clinique a permis d’identifier des douleurs sur les 2 muscles psoas, avec un niveau inflammatoire important. Suspectant une pubalgie avec de l’inflammation, j’ai donc conseillé au patient de refaire le point avec un médecin du sport. Par la suite, le patient a donc été suivi en ostéopathie et la réalisation de semelles orthopédiques ont permis d’améliorer ses douleurs. Il n’a pas été nécessaire pour cet adolescent de recourir aux anti-inflammatoires que son médecin lui avait prescrits. Le patient a pu reprendre sa saison sportive sans problème.

Exemple 2 : Patient de 25 ans, arbitre de football. A déclenché une pubalgie en Février 2012. Le patient me précise également que cette période-là correspondait à une période où il s’est entraîné 5 fois / semaine au lieu de 3 fois / semaine habituellement. De plus, les entraînements avaient lieu sur des surfaces bétonnées étant donné qu’il venait de déménager sur Paris. Le stress suscité par son nouveau travail sur Paris a pu contribuer à donner la pubalgie. Pour ce patient, ce sont les anti-inflammatoires et l’ostéopathie sur les lombaires et le ventre qui ont contribué à améliorer sa situation douloureuse. Le patient porte maintenant des semelles au quotidien et durant le sport, ceci lui a permis d’éviter de récidiver pour sa pubalgie. La pubalgie aura finalement duré 2 ans ½ chez ce patient.

Exemple 3 : Patiente de 39 ans.  Cette patiente a déclenché une pubalgie en 2012, environ 2-3 mois après qu’on lui ait posé son premier stérilet. La patiente se plaint de douleurs au quotidien. Cette patiente est venue me consulter pour la première en 2016. Les différents tests montraient bien des douleurs sur le psoas (qu’elle sollicitait beaucoup lors de la course à pieds) ainsi que des dysfonctionnements au bas du ventre. L’interrogatoire a permis de montrer que le stérilet posait des problèmes de lombaires ainsi que des problèmes de cycle menstruel. Avec l’accord du médecin traitant et de la gynécologue, il a donc été décidé qu’il fallait enlever le stérilet. C’est la première fois depuis 2012 que la patiente a observé une disparition de ses douleurs durant une semaine. La patiente a ensuite été suivie en ostéopathie et en kinésithérapie afin de traiter au mieux les dysfonctionnements restants.

Retrouvez ici un site internet sur lequel vous pourrez trouver un Boxer créé par 1 Kinésithérapeute afin de pouvoir limiter les contraintes subies par le pubis, les adducteurs et le psoas durant la pratique sportive.

Voici les coordonnées d’une kinésithérapeute très compétente que vous pouvez retrouver sur Voisins Le Bretonneux : Mme MUNNIGHOFF-BERNABE Julia, 35 rue aux fleurs – 78960 – Voisins Le Bretonneux.

Présentation de mon étude en ostéopathie sur la pubalgie du footballeur au 9° Symposium International Ostéopathique de Nantes

Participation d’Anthony ROUSSEAU au 9° Symposium International d’Ostéopathie en Novembre 2012 (Présentation sur la Prise en charge en ostéopathie de la Pubalgie des Footballeurs)

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En cas de lumbago, le patient peut directement consulter un ostéopathe sans nécessairement avoir consulté un médecin auparavant. L’ostéopathe aura pour mission d’identifier l’origine des douleurs du patient (cause musculaire ? cause articulaire ? cause discale ?). L’ostéopathe réalisera différents tests afin d’identifier la cause des douleurs du patient.

Il est recommandé d’amener les examens complémentaires déjà réalisés par le passé pour le dos (arthrose ? pincement discal ? hernie discale ?).

Selon la cause des douleurs, l’ostéopathe adaptera ses techniques afin d’améliorer la situation douloureuse de son patient. En cas de symptomatologie discale, votre ostéopathe ne prendra aucun risque, il adaptera ses techniques afin d’optimiser vos chances de guérison. S’il le juge nécessaire, l’ostéopathe vous établira un courrier médical à remettre à votre médecin en cas de douleur discale ne pouvant être améliorée par des manipulations ostéopathiques (exemple : certaines sciatiques provoquées par la compression du nerf sciatique au niveau d’un disque intervertébral lombaire).

Pour informations :

– Il n’est pas obligatoire d’avoir réalisé des radios du dos avant de consulter un ostéopathe. Lors de votre visite chez un ostéopathe, il est toutefois conseillé de ramener TOUS les examens complémentaires déjà réalisés par le passé.

– L’arthrose n’est pas une contre-indication à la manipulation ostéopathique.

– L’existence de pincements discaux et/ou d’hernies discales n’est pas une contre-indication à la prise en charge par un ostéopathe. Je recommande cependant d’éviter toutes techniques de manipulation qui pourraient mettre en jeu les disques douloureux. D’autres techniques peuvent être utilisées autrement, sans mobiliser la zone du disque.

– Les anti-inflammatoires sont efficaces si seulement si, la douleur revêt un caractère inflammatoire (ex : en cas de pincement discal). En cas de contracture musculaire, les anti-inflammatoires ne sont pas spécifiques au traitement de cette cause douloureuse.

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L’ostéopathie permet d’améliorer les douleurs de l’appareil locomoteur aussi bien au niveau du dos qu’au niveau des articulations périphériques des membres supérieurs et inférieurs.

Les douleurs des membres supérieurs représentent une proportion non négligeable des consultations en ostéopathie. Les patients viennent consulter régulièrement pour des tendinites d’épaule, de coude et/ou de poignet. Les gestes du quotidien (au travail ou au sport) contribuent à pouvoir provoquer ces tendinites.

 

Voici les principaux facteurs qui peuvent donner des tendinites d’épaule :

– Le fait de dormir toujours sur la même épaule. Et oui !

– Le sport (tennis, natation…).

– Les métiers avec des travaux à réaliser en hauteur (peinture du plafond, bâtiment…).

 

Voici les principaux facteurs qui peuvent donner des tendinites de coude et de poignet :

– L’utilisation de la souris d’ordinateur.

– Des travaux inhabituels (tronçonner un arbre, visser/dévisser).

– Le sport (tennis…).

En cas de tendinite sur le membre supérieur, il est possible de consulter votre médecin traitant. Celui-ci pourra vous prescrire un examen complémentaire (IRM et/ou échographie) afin de vérifier quels sont les tendons mis en cause dans vos douleurs. Le médecin pourra également vous prescrire des médicaments et/ou de la kinésithérapie.

En cas de tendinite du membre supérieur, il est essentiel de pouvoir être suivi en kinésithérapie et en ostéopathie. En effet, les douleurs ayant généralement une cause mécanique, les médicaments ne sauraient résoudre le problème mécanique à l’origine de la tendinite. Les médicaments sont surtout là pour réduire l’inflammation, permettant ainsi de réduire ou de faire parfois disparaître les douleurs. L’ostéopathe ciblera avec vous les mouvements de votre quotidien qui contribuent ou qui font que la tendinite perdure encore à ce jour.

 

Ce qu’il faut savoir sur les tendinites :

– Les anti-inflammatoires ne sont pas toujours nécessaires.

– Les tendinites de coude peuvent être confondues avec des douleurs de nerfs en regard des membres supérieurs. Seul l’examen clinique prévaut dans ces circonstances (voir l’exemple N°3).

– Il est généralement admis, qu’un traitement multidisciplinaire (médecin + kinésithérapie + ostéopathie) permet d’améliorer au plus vite des problèmes de tendinite.

– Les tendinites calcifiantes sont difficiles à améliorer en thérapie manuelle.

 

Voici quelques exemples de patients venus me consulter pour des douleurs du membre supérieur :

Exemple 1 : Patient de 58 ans qui est venu me consulter en ostéopathie pour des douleurs de coude. Le patient se souvient être tombé sur son coude gauche quelques mois auparavant. Cette chute avait légèrement déplacé l’os cubitus vers l’extérieur, ce qui avait provoqué le pincement du muscle anconé qui était responsable de son tennis elbow à gauche. Un travail articulaire et un relâchement de ce muscle ont permis la disparition de ses douleurs.

Exemple 2 : Patient de 30 ans, constructeur d’hélicoptères rafales, m’a consulté pour des douleurs d’épaule droite qu’il ressent quand il doit visser des pièces dans l’hélicoptère. Il existait un pincement d’un tendon de l’épaule (: le supra-épineux) lors de travaux à réaliser avec les bras en hauteur. La séance d’ostéopathie a consisté à diminuer le pincement de ce tendon au niveau de son épaule.

Exemple 3 : Patient de 36 ans, tennisman. Ce patient est venu me consulter pour des douleurs d’épaule droite et de coude droit existant au même moment. Les différents tests ont permis de montrer que les douleurs d’épaule et de coude droits étaient liées à  une seule et même cause : le pincement du nerf radial droit. Les traitements kinésithérapiques pour la tendinite de coude et d’épaule à droite, n’ont pas été efficaces. C’est lorsque le travail ostéopathique a consisté à débloquer les zones de passage du nerf douloureux que les douleurs ont été améliorées. C’est donc en travaillant le cou du patient que les douleurs ont été améliorées pour son épaule et pour son coude droits, en effet, le nerf était bien pincé au niveau de ses cervicales.

 

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La lomboradiculalgie correspond à une compression et/ou une irritation d’un nerf au niveau des lombaires. Elle donne généralement des douleurs aigues au bas du dos ainsi que des douleurs pouvant intéresser les fessiers, la cuisse, le genou, la jambe et parfois le pied et les orteils.

 

Voici les principaux facteurs pouvant amener au déclenchement d’une lomboradiculalgie :

– port de charges (+++).

– jardinage la veille.

– activité sportive ayant participé à inflammer le bas du dos (course à pieds, vélo).

– stress / chute sur les fesses /période de règles …

 

Comme pour tous les autres motifs de consultation, l’ostéopathe réalisera un interrogatoire afin d’identifier le facteur qui aurait pu déclencher ou favoriser ces douleurs-là (jardinage la veille ? ports de charges ? période de règles ? stress ?). Ensuite, l’ostéopathe vous fera réaliser des tests afin de vérifier ce qui provoque les douleurs connues (tests pour le dos ? tests pour le bassin ? douleurs en lien avec le ventre ?). C’est suite à la synthèse de tout cela, que l’ostéopathe définira la suite à donner pour la prise en charge de votre lomboradiculalgie. Il pourra vous prendre en charge en ostéopathie ou bien, s’il le juge nécessaire vous réorienter vers votre médecin traitant afin qu’il puisse vous prescrire des examens complémentaires et/ou des médicaments si nécessaire.

 

Ce qu’il faut savoir sur LES LOMBORADICULALGIES :

– On différencie la lombosciatique qui intéresse plutôt la partie postéro-latérale de la cuisse et de la jambe de la lombocruralgie qui intéresse plutôt le devant de la cuisse.

– La lomboradiculalgie n’est pas toujours liée à une hernie discale comme on pourrait le penser. Un léger pincement discal peut suffire à provoquer une lomboradiculalgie.

– L’inflammation participe généralement à donner la lombosciatique ou la lombocruralgie, d’où la bonne efficacité des anti-inflammatoires dans certains cas.

– Je déconseille aux patients de se faire manipuler pour leur dos si leur sciatique est en lien avec des problèmes de pincement discal et/ou d’hernie discale.

– Un travail viscéral peut dans certains cas suffire à calmer des douleurs de sciatique ou de cruralgie.

 

Voici quelques exemples de patients venus me consulter pour lomboradiculalgie :

Exemple 1 : Patient de 43 ans, cycliste, est venu me consulter en 2014 pour une lombosciatalgie gauche apparue au réveil ce matin. Les différents tests montraient que le nerf sciatique gauche était bel et bien en compression. C’est en débloquant la zone où le nerf sciatique pinçait que nous avons obtenu de bons résultats pour le patient. Ce blocage s’était créé avec le vélo réalisé la veille.

Exemple 2 : Patiente de 63 ans, coureuse à pieds, se présente avec une lombosciatique gauche. Cette patiente m’a été adressée par son médecin du sport. Celui-ci a conseillé à la patiente de venir me voir en ostéopathie car la radio lombaire ne montre aucune pathologie discale ou arthrosique. La patiente a été vue au cours de 2 séances d’ostéopathie. Avec un premier rendez-vous qui a permis de diminuer les tensions du muscle psoas gauche. Le deuxième a consisté en la normalisation d’une dysfonction vertébrale en L4/L5 à gauche. La patiente a pu reprendre l’activité sportive qui était la sienne avant l’apparition de cette lomboradiculalgie.

Exemple 3 : Patiente de 55 ans, mère au foyer, est venue me consulter pour des douleurs lombaires gauches associées à des douleurs postérieures de cuisse gauche. A l’interrogatoire, la patiente précise qu’elle a déjà connu ce type de douleurs il y a 2 ans. L’interrogatoire montre également que la patiente est sujette aux infections urinaires. Suite aux bons résultats obtenus aux tests de mobilité de son dos, j’ai décidé de faire pratiquer une analyse urinaire à la patiente. Celle-ci a permis de révéler une infection urinaire en cours, laquelle pouvait être à l’origine des symptômes actuellement décrits. J’avais donc bien fait de réorienter la patiente vers son médecin généraliste.

 

Voici en image le certificat de formation du CFPCO en lien avec la formation que j’ai réalisée en 2016 sur la prise en charge ostéopathique des lomboradiculalgies dont les sciatiques et les cruralgies font partie :

 

Certificat de formation CFPCO concernant la prise en charge en ostéopathie des névralgies cervico brachiales (NCB)

 

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La lombosciatique correspond à une compression et/ou une irritation du nerf sciatique au niveau des lombaires. Elle donne généralement des douleurs aigues au bas du dos ainsi que des douleurs sur le trajet du nerf sciatique. La douleur peut généralement intéresser les fessiers, la face postéro-latérale de la cuisse, du genou, de la jambe et/ou le pied et les orteils.

 

Voici les principaux facteurs pouvant amener au déclenchement d’une lombosciatique :

– port de charges (+++).

– longs trajets en voiture.

– activité sportive ayant participé à inflammer le bas du dos (course à pieds, vélo).

– inflammation provoquée par le port d’un stérilet cuivre.

– stress / chute sur les fesses / période de règles …

 

Comme pour tous les autres motifs de consultation, l’ostéopathe réalisera un interrogatoire afin d’identifier le facteur qui aurait pu déclencher ou favoriser ces douleurs-là (jardinage la veille ? ports de charges ? période de règles ? stress ?). Ensuite, l’ostéopathe vous fera réaliser des tests afin de vérifier ce qui provoque les douleurs connues (tests pour le dos ? tests pour le bassin ? douleurs en lien avec le ventre ?). C’est suite à la synthèse de tout cela, que l’ostéopathe définira la suite à donner pour la prise en charge de votre lombosciatique. Il pourra vous prendre en charge en ostéopathie ou bien, s’il le juge nécessaire vous réorienter vers votre médecin traitant afin qu’il puisse vous prescrire des examens complémentaires et/ou des médicaments si nécessaire.

 

Ce qu’il faut savoir sur la LOMBOSCIATIQUE :

– La lombosciatique n’est pas toujours liée à une hernie discale comme on pourrait le penser. Un léger pincement discal peut suffire à provoquer une lombosciatique.

– L’inflammation participe généralement à donner la lombosciatique, d’où la bonne efficacité des anti-inflammatoires dans certains cas.

– Je déconseille aux patients de se faire manipuler pour leur dos si leur sciatique est en lien avec des problèmes de pincement discal et/ou d’hernie discale.

– Un travail viscéral peut parfois suffire à calmer des douleurs de sciatique.

– Le nerf sciatique est en rapport avec la vessie et le rein en médecine chinoise.

 

Voici en image le certificat de formation du CFPCO en lien avec la formation que j’ai réalisée en 2016 sur la prise en charge ostéopathique des lombosciatiques :

 

Certificat de formation CFPCO concernant la prise en charge en ostéopathie des névralgies cervico brachiales (NCB)

 

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La tendinite de De Quervain correspond à une tendinite du poignet. Ce sont généralement les tendons qui se situent à la base du pouce qui vont pouvoir donner les douleurs.

Il est fréquent de retrouver cette tendinite chez les salariés qui travaillent sur ordinateur ou par téléphone (secrétaires, comptables, ingénieurs …).

Le tendon est douloureux car sursollicité lors de mouvements répétés au travail. Il est essentiel d’identifier les mouvements du quotidien qui participent à provoquer la douleur. Il n’est pas rare que les patients consultent en médecine générale pour ce motif.

  Voici les principales thérapeutiques proposées par le médecin : – l’utilisation d’une orthèse afin de mettre le poignet au repos. – l’utilisation d’anti-inflammatoires. – le repos. – l’infiltration si jamais les douleurs ne sont pas améliorées après plusieurs semaines malgré l’orthèse et/ou les anti-inflammatoires. – pris à temps, l’ostéopathie peut participer à améliorer ou à faire disparaître des douleurs liées à la Tendinite de De Quervain.  

Voici quelques exemples de patients venus me consulter en ostéopathie pour une tendinite de De Quervain :

Exemple 1 : Patiente de 28 ans, comptable, qui décrivait des douleurs aigues pour son poignet droit après avoir réalisé des travaux d’aménagement chez elle. La patiente ressentait ses douleurs lorsqu’elle devait travailler sur l’ordinateur. Ces douleurs étaient effectivement en faveur d’une Tendinite de De Quervain. La patiente a vu ses douleurs s’améliorer après la séance d’ostéopathie. L’utilisation d’anti-inflammatoires locaux a permis d’optimiser sa guérison.

Exemple 2 : Patiente de 57 ans, secrétaire médicale, avait eu une tendinite de De Quervain en 2012 et une récidive en 2013. La deuxième tendinite a nécessité deux infiltrations qui ont permis de faire disparaître totalement ses douleurs. L’orthèse et le repos n’ayant pas suffi à améliorer les douleurs de cette patiente.

 

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La sciatique correspond à une compression et/ou une irritation du nerf sciatique au niveau de la colonne lombaire et/ou au niveau du bassin. Elle donne généralement des douleurs aigues au bas du dos ainsi que des douleurs dans les fessiers et/ou dans le membre inférieur, pouvant parfois même aller jusqu’à diffuser dans le pied.

Voici les principaux facteurs pouvant amener au déclenchement d’une sciatique :

– port de charges (+++).

– longs trajets en voiture.

– activité sportive ayant participé à inflammer le bas du dos (course à pieds, vélo).

– stress / constipation / chute sur les fesses …

 

Comme pour tous les autres motifs de consultation, l’ostéopathe réalisera un interrogatoire afin d’identifier le facteur qui aurait pu déclencher ou favoriser ces douleurs-là (jardinage la veille ? ports de charges ? signes digestifs ?). Ensuite, l’ostéopathe vous fera réaliser des tests afin de vérifier ce qui provoque les douleurs connues (tests pour le dos ? tests pour le bassin ? douleurs en lien avec des viscères ?). C’est suite à la synthèse de tout cela, que l’ostéopathe définira la suite à donner pour la prise en charge de votre sciatique. Il pourra vous prendre en charge en ostéopathie ou bien, s’il le juge nécessaire vous réorienter vers votre médecin traitant afin qu’il vous prescrive des examens complémentaires et/ou des médicaments pour soulager vos douleurs.

 

Ce qu’il faut savoir sur la SCIATIQUE :

– La sciatique n’est pas toujours liée à une hernie discale comme on pourrait le penser.

– L’inflammation participe généralement à donner la sciatique, d’où la bonne efficacité des anti-inflammatoires dans certains cas.

– Suivant le type de sciatique, il n’est pas toujours nécessaire de travailler les vertèbres lombaires. Un travail viscéral peut parfois suffire à calmer des douleurs de sciatique.

– Je déconseille aux patients de se faire manipuler pour leur dos, si leur sciatique est en lien avec des problèmes de pincement discal et/ou d’hernie discale.

 

Voici en image le certificat de formation du CFPCO en lien avec la formation que j’ai réalisée en 2016 sur la prise en charge ostéopathique des sciatiques :

 

Certificat de formation CFPCO concernant la prise en charge en ostéopathie des névralgies cervico brachiales (NCB)

 

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En cas de tendinite d’épaule, le patient se plaint généralement de douleurs de son épaule lors de son utilisation (exemples : pour mettre son manteau, pour agrafer son soutien-gorge…). La douleur peut parfois empêcher le patient de dormir sur son épaule. La tendinite d’épaule provoque généralement l’arrêt ou la forte diminution de l’activité sportive (le + souvent en lien avec le tennis).

La tendinite d’épaule est généralement liée à la suractivité. Celle-ci occasionne alors des douleurs et de l’inflammation en regard des tendons de l’épaule. Le médecin prescrit généralement une échographie et/ou une IRM d’épaule afin de vérifier l’intégrité des tendons de l’épaule = tendons de la coiffe des rotateurs. La radio d’épaule peut permettre de mettre en évidence une tendinite calcifiante d’épaule et/ou des anomalies sur les os et articulations composant l’épaule. Les médicaments prescrits peuvent être : antalgiques et/ou anti-inflammatoires locaux et oraux. La kinésithérapie est parfois utile en cas de tendinopathie d’épaule.

Pour rappel, il n’est pas nécessaire d’avoir consulté un médecin au préalable ou d’avoir réalisé des examens complémentaires avant de consulter un ostéopathe. Pensez à ramener le détail de vos prescriptions et de vos examens complémentaires si vous en avez déjà réalisés auparavant.

L’ostéopathe aura pour rôle d’évaluer les paramètres restreints pour votre épaule et d’identifier le ou les tendon(s) concerné(s) par la tendinite d’épaule. Les tendons peuvent être contraints à cause de malpositions articulaires et/ou de tensions sur les muscles en rapport. Il est généralement nécessaire de réaliser entre 2 à 3 séances d’ostéopathie afin d’améliorer significativement les douleurs de l’épaule. Les objectifs de l’ostéopathe étant de réduire les douleurs de l’épaule connues au quotidien et de permettre la reprise sportive ou la reprise du travail.

Certaines tendinites peuvent nécessiter la collaboration d’un kinésithérapeute et/ou une prise en charge par allopathie afin de réduire l’inflammation de l’épaule.

 

Retrouvez la liste des mutuelles remboursant l’ostéopathie.

 

 

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La névralgie cervico brachiale (ou NCB) correspond à la compression d’un nerf au niveau de la colonne cervicale. Le patient pourra se plaindre d’une douleur cervicale associée à des douleurs pouvant diffuser dans son haut du dos, son épaule, son bras voire même jusqu’à ses doigts, suivant le type de NCB. La NCB pourra apparaître suite à un traumatisme (faux mouvement, accident) ou bien au réveil, alors que le patient avait eu une mauvaise posture durant son endormissement. En cas de NCB, la douleur est généralement forte voire très forte. Les mouvements sont alors limités pour le cou (à type de torticolis) et les mouvements de bras peuvent être douloureux et limités. Le patient pourra également décrire une sensation de lourdeur pour son bras et/ou ressentir des fourmillements/picotements dans sa main ou dans ses doigts.  

Que faire si j’ai une NCB ?

Il est tout à fait possible de consulter un ostéopathe pour ce motif de consultation. Parfois le stress pourra augmenter l’état de tension musculaire et favoriser l’apparition d’une NCB. En fonction des résultats obtenus aux tests (examen neurologique des membres supérieurs : testing de la motricité, de la sensibilité et des réflexes) : l’ostéopathe pourra vous prendre en charge et vous manipuler ou bien vous orienter vers une prise en charge médicale qui pourrait être plus adaptée à votre situation. Certaines NCB peuvent être améliorées par l’ostéopathie et d’autres NCB nécessitent la réalisation d’examens complémentaires et la prise de médicaments (anti-inflammatoires par exemple).  

Voici quelques exemples de patients venus me consulter en ostéopathie pour névralgie cervico brachiale :

Exemple 1 : Femme de 57 ans, comptable, a développé une NCB après avoir changé de bureau, sa posture s’en est vue modifiée. Et la patiente précise que sa baisse de vision récente a participé également à majorer l’extension de ses cervicales lors de son travail sur ordinateur. Cette patiente a pu être traitée et améliorée par ostéopathie. Exemple 2 : Jeune homme de 26 ans, salarié dans une station essence, a été sollicité afin de débloquer un rouleau qui s’était bloqué sur une voiture dans une station de lavage. Le patient a senti son cou craquer au moment où il a débloqué le rouleau (de toutes ses forces). Ce patient a été réorienté et pris en charge en médecine générale afin de réaliser une radiographie. Des médicaments lui ont été prescrits pour le soulager.  

Voici en image le certificat de formation du CFPCO en lien avec la formation que j’ai réalisée en 2016 sur la prise en charge ostéopathique des brachialgies (ou NCB) :

Certificat de formation CFPCO concernant la prise en charge en ostéopathie des névralgies cervico brachiales (NCB)

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OSTÉOPATHE A GUYANCOURT DEPUIS 2012

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