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Les accidents de la voie publique (AVP) concernent aussi bien les automobilistes, cyclistes, motards ou piétons.

L’accident le plus fréquent est le « coup du lapin ». Celui-ci a généralement lieu quand un véhicule avec une vitesse plus importante que la vôtre vient vous percuter par l’arrière.

Je conseille aux patients ayant subi un AVP de réaliser des radiographies du rachis entier suite à l’accident. Ceci permet de constater d’éventuelles répercussions sur la colonne vertébrale liées à l’accident. Cette radiographie pourrait vous servir pour votre assurance !

 

Conséquences du « coup du lapin » et prise en charge ostéopathique =

 

Lors d’un AVP, les contraintes mécaniques subies par le corps sont très importantes, il suffit de voir l’état du véhicule pour le constater.

Le patient se plaint généralement de douleurs cervicales au fur à mesure des jours qui suivent l’accident. Sur le moment, les douleurs sont parfois non présentes car l’adrénaline est au maximum.

N’hésitez pas à faire le nécessaire auprès de votre médecin ou allez à l’hôpital pour faire un bilan le jour de l’accident.

 

En général, le patient vient consulter un ostéopathe dans les 15 jours qui suivent l’accident ou parfois même 10 ans après, pour des douleurs récurrentes de son rachis cervical.

Il est recommandé de consulter un ostéopathe environ 2 à 3 semaines après l’accident. N’oubliez pas de lui apporter les radiographies que vous aurez réalisées auparavant.

Concernant les patients ayant subi un AVP (« coup du lapin ») plusieurs années auparavant : il est fréquent de retrouver une rectitude du rachis cervical et des douleurs cervicales récurrentes. Le traitement ostéopathique permet d’améliorer le confort de ces patients-là après quelques séances d’ostéopathie.

 

– Tous droits réservés à ROUSSEAU Anthony, Ostéopathe à Guyancourt (78280) –


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En cas de tendinite d’épaule, le patient se plaint généralement de douleurs de son épaule lors de son utilisation (exemples : pour mettre son manteau, pour agrafer son soutien-gorge…). La douleur peut parfois empêcher le patient de dormir sur son épaule. La tendinite d’épaule provoque généralement l’arrêt ou la forte diminution de l’activité sportive (le + souvent en lien avec le tennis).

La tendinite d’épaule est généralement liée à la suractivité. Celle-ci occasionne alors des douleurs et de l’inflammation en regard des tendons de l’épaule. Le médecin prescrit généralement une échographie et/ou une IRM d’épaule afin de vérifier l’intégrité des tendons de l’épaule = tendons de la coiffe des rotateurs. La radio d’épaule peut permettre de mettre en évidence une tendinite calcifiante d’épaule et/ou des anomalies sur les os et articulations composant l’épaule. Les médicaments prescrits peuvent être : antalgiques et/ou anti-inflammatoires locaux et oraux. La kinésithérapie est parfois utile en cas de tendinopathie d’épaule.

Pour rappel, il n’est pas nécessaire d’avoir consulté un médecin au préalable ou d’avoir réalisé des examens complémentaires avant de consulter un ostéopathe. Pensez à ramener le détail de vos prescriptions et de vos examens complémentaires si vous en avez déjà réalisés auparavant.

L’ostéopathe aura pour rôle d’évaluer les paramètres restreints pour votre épaule et d’identifier le ou les tendon(s) concerné(s) par la tendinite d’épaule. Les tendons peuvent être contraints à cause de malpositions articulaires et/ou de tensions sur les muscles en rapport. Il est généralement nécessaire de réaliser entre 2 à 3 séances d’ostéopathie afin d’améliorer significativement les douleurs de l’épaule. Les objectifs de l’ostéopathe étant de réduire les douleurs de l’épaule connues au quotidien et de permettre la reprise sportive ou la reprise du travail.

Certaines tendinites peuvent nécessiter la collaboration d’un kinésithérapeute et/ou une prise en charge par allopathie afin de réduire l’inflammation de l’épaule.

 

Retrouvez la liste des mutuelles remboursant l’ostéopathie.

 

 

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Le fonctionnement mécanique du genou est très complexe. Une douleur de genou pourra être causée par des problèmes de ligaments, de ménisques, de muscles et/ou des problèmes articulaires.

Afin d’identifier les éléments anatomiques à l’origine de vos douleurs de genou, l’ostéopathe vous posera quelques questions afin de cibler les mouvements amenant au maximum de douleurs. Par la suite, l’ostéopathe effectuera un examen de votre genou afin de vérifier les mouvements du genou ainsi que chacune des structures qui le composent.

Suite à un traumatisme, il est fréquent que les douleurs puissent être dues à des problèmes ligamentaires et/ou méniscaux. En cas de douleur aigue du genou suite à un traumatisme (en ski par exemple), il est recommandé de pouvoir consulter un médecin. Celui-ci pourra prescrire une radio afin de vérifier l’intégrité des os et des articulations du genou traumatisé. L’IRM permettra quant à elle de vérifier les ligaments (ligament croisé notamment) ainsi que les ménisques du genou. En cas de rupture du ligament croisé, il pourra y avoir une opération et/ou une rééducation par kinésithérapie. En cas de douleurs résiduelles après l’opération, il est recommandé de refaire le point avec le chirurgien de l’opération. Dans tous les cas, la rééducation post-opératoire est essentielle.

 

Les patients qui viennent consulter en ostéopathie pour des douleurs de genou sont souvent concernés par :

– des tendinites de genou.

– douleurs récurrentes après un traumatique passé.

– des syndromes rotuliens, Osgood-Schlatter (chez l’adolescent sportif et/ou en croissance).

– des douleurs de genou en lien avec la course à pieds (syndrome de l’essuie-glace)…

– problèmes méniscaux…

 

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La névralgie cervico brachiale (ou NCB) correspond à la compression d’un nerf au niveau de la colonne cervicale. Le patient pourra se plaindre d’une douleur cervicale associée à des douleurs pouvant diffuser dans son haut du dos, son épaule, son bras voire même jusqu’à ses doigts, suivant le type de NCB. La NCB pourra apparaître suite à un traumatisme (faux mouvement, accident) ou bien au réveil, alors que le patient avait eu une mauvaise posture durant son endormissement. En cas de NCB, la douleur est généralement forte voire très forte. Les mouvements sont alors limités pour le cou (à type de torticolis) et les mouvements de bras peuvent être douloureux et limités. Le patient pourra également décrire une sensation de lourdeur pour son bras et/ou ressentir des fourmillements/picotements dans sa main ou dans ses doigts.  

Que faire si j’ai une NCB ?

Il est tout à fait possible de consulter un ostéopathe pour ce motif de consultation. Parfois le stress pourra augmenter l’état de tension musculaire et favoriser l’apparition d’une NCB. En fonction des résultats obtenus aux tests (examen neurologique des membres supérieurs : testing de la motricité, de la sensibilité et des réflexes) : l’ostéopathe pourra vous prendre en charge et vous manipuler ou bien vous orienter vers une prise en charge médicale qui pourrait être plus adaptée à votre situation. Certaines NCB peuvent être améliorées par l’ostéopathie et d’autres NCB nécessitent la réalisation d’examens complémentaires et la prise de médicaments (anti-inflammatoires par exemple).  

Voici quelques exemples de patients venus me consulter en ostéopathie pour névralgie cervico brachiale :

Exemple 1 : Femme de 57 ans, comptable, a développé une NCB après avoir changé de bureau, sa posture s’en est vue modifiée. Et la patiente précise que sa baisse de vision récente a participé également à majorer l’extension de ses cervicales lors de son travail sur ordinateur. Cette patiente a pu être traitée et améliorée par ostéopathie. Exemple 2 : Jeune homme de 26 ans, salarié dans une station essence, a été sollicité afin de débloquer un rouleau qui s’était bloqué sur une voiture dans une station de lavage. Le patient a senti son cou craquer au moment où il a débloqué le rouleau (de toutes ses forces). Ce patient a été réorienté et pris en charge en médecine générale afin de réaliser une radiographie. Des médicaments lui ont été prescrits pour le soulager.  

Voici en image le certificat de formation du CFPCO en lien avec la formation que j’ai réalisée en 2016 sur la prise en charge ostéopathique des brachialgies (ou NCB) :

Certificat de formation CFPCO concernant la prise en charge en ostéopathie des névralgies cervico brachiales (NCB)

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Un patient se plaignant de douleurs pour son dos peut directement consulter un ostéopathe sans nécessairement avoir consulté un médecin auparavant. L’ostéopathe aura pour mission d’identifier l’origine des douleurs du patient (cause musculaire ? cause vertébrale ? cause viscérale ?). L’ostéopathe réalisera différents tests afin d’identifier la cause des douleurs du patient. Selon la cause des douleurs, l’ostéopathe adaptera ses techniques afin d’améliorer la situation douloureuse de son patient. Les douleurs du dos en lien avec des blocages de côtes ou de vertèbres pourront faire appel à des manipulations vertébrales. Aucun problème si vous ne souhaitez pas de technique de craquage articulaire, il suffit d’en informer l’ostéopathe durant la séance. D’autres techniques toutes aussi efficaces existent.   A savoir, que certaines douleurs du dos sont causées par des dysfonctionnements viscéraux. En effet, pour exemple : le nerf de l’estomac prend son origine au niveau de la 6e vertèbre dorsale. En cas de problèmes d’estomac, vous pourrez présenter des troubles digestifs et/ou des douleurs dans la région de la 6e vertèbre dorsale (soit entre les omoplates). Le traitement ostéopathique pourra concerner l’estomac et/ou la vertèbre dorsale N°6.  

Ce qu’il faut savoir sur les douleurs de dos :

– Il n’est pas obligatoire d’avoir réalisé des radios du dos avant de consulter un ostéopathe. Lors de votre visite chez un ostéopathe, il est toutefois conseillé de ramener TOUS les examens complémentaires déjà réalisés par le passé. Cela permettra de vérifier s’il existe une scoliose ou éventuellement de l’arthrose. – L’arthrose n’est pas une contre-indication à la manipulation ostéopathique ! – Les problèmes discaux concernent majoritairement les lombaires et plus rarement le rachis cervical. Les problèmes discaux sont rares pour le rachis dorsal (hormis dans des contextes traumatiques importants). – Un traitement viscéral suffit parfois à améliorer significativement les douleurs aigues et/ou chroniques des patients souffrant du dos. Retrouvez sur : https://www.facebook.com/oosteo.fr/videos/1044940102249503/ une vidéo de Fred et Jamy de C’est pas sorcier. Ils vous expliquent pourquoi un problème viscéral peut donner des douleurs du dos (regardez cette vidéo à partir de 1 min 34 s). – Le craquage articulaire n’est pas toujours nécessaire pour améliorer les douleurs récurrentes et récidivantes du dos, surtout s’il s’agit toujours du même point qui revient et qui se bloque.  

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OSTÉOPATHE A GUYANCOURT DEPUIS 2012

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