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Un patient se plaignant de douleurs lombaires ou de lombalgie peut être amené à consulter directement un ostéopathe sans nécessairement avoir consulté un médecin auparavant. L’ostéopathe aura pour mission d’identifier l’origine des douleurs du patient (cause musculaire ? cause articulaire ? cause discale ? cause viscérale ?). L’ostéopathe réalisera différents tests afin d’identifier la cause des douleurs du patient.

Il est recommandé d’amener les examens complémentaires déjà réalisés pour le dos (arthrose ? pincement discal ? hernie discale ?).

Selon la cause des douleurs, l’ostéopathe adaptera ses techniques afin d’améliorer la situation douloureuse de son patient. En cas de symptomatologie discale, votre ostéopathe ne prendra aucun risque, il adaptera ses techniques afin d’optimiser vos chances de guérison. S’il le juge nécessaire, l’ostéopathe vous établira un courrier médical à remettre à votre médecin en cas de douleur discale ne pouvant être améliorée par des manipulations ostéopathiques.

 

Pour informations :

– Il n’est pas obligatoire d’avoir réalisé des radios du dos avant de consulter un ostéopathe. Lors de votre visite chez un ostéopathe, il est toutefois conseillé de ramener TOUS les examens complémentaires déjà réalisés par le passé. – L’arthrose n’est pas une contre-indication à la manipulation ostéopathique. – L’existence de pincements discaux et/ou d’hernies discales n’est pas une contre-indication à la prise en charge par un ostéopathe. Je recommande cependant d’éviter toutes techniques de manipulation qui pourraient mettre en jeu les disques douloureux. D’autres techniques peuvent être utilisées autrement, sans mobiliser la zone du disque. – Un traitement viscéral suffit parfois à améliorer significativement les douleurs aigues et/ou chroniques des patients lombalgiques.  

– Tous droits réservés à ROUSSEAU Anthony, Ostéopathe à Guyancourt (78280) –


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Un patient se plaignant de douleurs de dos peut être amené à consulter directement un ostéopathe sans nécessairement avoir consulté un médecin auparavant. L’ostéopathe aura pour mission d’identifier l’origine des douleurs du patient (cause musculaire ? cause articulaire ? cause discale ? cause viscérale ?). L’ostéopathe réalisera différents tests afin d’identifier la cause des douleurs du patient.

Il est recommandé d’amener les examens complémentaires déjà réalisés pour le dos (arthrose ? pincement discal ? hernie discale ?).

Selon la cause des douleurs, l’ostéopathe adaptera ses techniques afin d’améliorer la situation douloureuse de son patient. En cas de symptomatologie discale, votre ostéopathe ne prendra aucun risque, il adaptera ses techniques afin d’optimiser vos chances de guérison. S’il le juge nécessaire, l’ostéopathe vous établira un courrier médical à remettre à votre médecin en cas de douleur discale ne pouvant être améliorée par des manipulations ostéopathiques.

 

Pour informations :

– Il n’est pas obligatoire d’avoir réalisé des radios du dos avant de consulter un ostéopathe. Lors de votre visite chez un ostéopathe, il est toutefois conseillé de ramener TOUS les examens complémentaires déjà réalisés par le passé.

– L’arthrose n’est pas une contre-indication à la manipulation ostéopathique.

– L’existence de pincements discaux et/ou d’hernies discales n’est pas une contre-indication à la prise en charge par un ostéopathe. Je recommande cependant d’éviter toutes techniques de manipulation qui pourraient mettre en jeu les disques douloureux. D’autres techniques peuvent être utilisées autrement, sans mobiliser la zone du disque.

– Un traitement viscéral suffit parfois à améliorer significativement les douleurs aigues et/ou chroniques des patients souffrant de leur dos.

 

Voici quelques exemples de patients venus me consulter pour des douleurs du dos :

Exemple 1 : Patiente de 37 ans, adressée par un médecin, pour cause de douleurs récurrentes entre les 2 omoplates. La douleur a été identifiée au niveau de la 6° côte à gauche. La patiente précise qu’elle connaît cette douleur depuis de nombreuses années. La patiente a été vue au cours de 2 séances d’ostéopathie. Le premier rendez-vous a consisté à détendre l’estomac qui participait à bloquer le 6° étage dorsal de la patiente (en lien avec les nerfs de l’estomac). Après avoir diminué l’intensité de la douleur suite au premier rendez-vous, nous avons pu débloquer la 6° côte à gauche en réalisant une manipulation.

Exemple 2 : Patiente de 69 ans, adressée par une médecin, à cause d’une vertèbre bloquée après avoir longuement toussé à cause d’une grippe qui a duré plus de 3-4 semaines.  La patiente a été vue au cours de 2 séances d’ostéopathie. Le premier rendez-vous a consisté à détendre le diaphragme qui était très tendu après avoir toussé durant de longues semaines. Ce premier rendez-vous a permis de diminuer de moitié l’intensité de la douleur : passant alors de 6/10 à 3/10. Puis le deuxième et dernier rendez-vous a consisté à manipuler la vertèbre dorsale N°5 permettant ainsi de débloquer la côte (N°5) qui s’y rattachait.

Exemple 3 : Patient, rugbyman de 41 ans, est venu de lui-même pour une douleur située au milieu du dos. Ce patient a pour habitude d’être manipulé en ostéopathie. La technique réalisée en regard de T12/L1 a permis de débloquer la vertèbre qui était en cause dans ses douleurs. Une seule séance a suffi.

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L’ostéopathie permet d’améliorer les douleurs de l’appareil locomoteur aussi bien au niveau du dos qu’au niveau des articulations périphériques des membres supérieurs et inférieurs.

Les douleurs des membres supérieurs représentent une proportion non négligeable des consultations en ostéopathie. Les patients viennent consulter régulièrement pour des tendinites d’épaule, de coude et/ou de poignet. Les gestes du quotidien (au travail ou au sport) contribuent à pouvoir provoquer ces tendinites.

 

Voici les principaux facteurs qui peuvent donner des tendinites d’épaule :

– Le fait de dormir toujours sur la même épaule. Et oui !

– Le sport (tennis, natation…).

– Les métiers avec des travaux à réaliser en hauteur (peinture du plafond, bâtiment…).

 

Voici les principaux facteurs qui peuvent donner des tendinites de coude et de poignet :

– L’utilisation de la souris d’ordinateur.

– Des travaux inhabituels (tronçonner un arbre, visser/dévisser).

– Le sport (tennis…).

En cas de tendinite sur le membre supérieur, il est possible de consulter votre médecin traitant. Celui-ci pourra vous prescrire un examen complémentaire (IRM et/ou échographie) afin de vérifier quels sont les tendons mis en cause dans vos douleurs. Le médecin pourra également vous prescrire des médicaments et/ou de la kinésithérapie.

En cas de tendinite du membre supérieur, il est essentiel de pouvoir être suivi en kinésithérapie et en ostéopathie. En effet, les douleurs ayant généralement une cause mécanique, les médicaments ne sauraient résoudre le problème mécanique à l’origine de la tendinite. Les médicaments sont surtout là pour réduire l’inflammation, permettant ainsi de réduire ou de faire parfois disparaître les douleurs. L’ostéopathe ciblera avec vous les mouvements de votre quotidien qui contribuent ou qui font que la tendinite perdure encore à ce jour.

 

Ce qu’il faut savoir sur les tendinites :

– Les anti-inflammatoires ne sont pas toujours nécessaires.

– Les tendinites de coude peuvent être confondues avec des douleurs de nerfs en regard des membres supérieurs. Seul l’examen clinique prévaut dans ces circonstances (voir l’exemple N°3).

– Il est généralement admis, qu’un traitement multidisciplinaire (médecin + kinésithérapie + ostéopathie) permet d’améliorer au plus vite des problèmes de tendinite.

– Les tendinites calcifiantes sont difficiles à améliorer en thérapie manuelle.

 

Voici quelques exemples de patients venus me consulter pour des douleurs du membre supérieur :

Exemple 1 : Patient de 58 ans qui est venu me consulter en ostéopathie pour des douleurs de coude. Le patient se souvient être tombé sur son coude gauche quelques mois auparavant. Cette chute avait légèrement déplacé l’os cubitus vers l’extérieur, ce qui avait provoqué le pincement du muscle anconé qui était responsable de son tennis elbow à gauche. Un travail articulaire et un relâchement de ce muscle ont permis la disparition de ses douleurs.

Exemple 2 : Patient de 30 ans, constructeur d’hélicoptères rafales, m’a consulté pour des douleurs d’épaule droite qu’il ressent quand il doit visser des pièces dans l’hélicoptère. Il existait un pincement d’un tendon de l’épaule (: le supra-épineux) lors de travaux à réaliser avec les bras en hauteur. La séance d’ostéopathie a consisté à diminuer le pincement de ce tendon au niveau de son épaule.

Exemple 3 : Patient de 36 ans, tennisman. Ce patient est venu me consulter pour des douleurs d’épaule droite et de coude droit existant au même moment. Les différents tests ont permis de montrer que les douleurs d’épaule et de coude droits étaient liées à  une seule et même cause : le pincement du nerf radial droit. Les traitements kinésithérapiques pour la tendinite de coude et d’épaule à droite, n’ont pas été efficaces. C’est lorsque le travail ostéopathique a consisté à débloquer les zones de passage du nerf douloureux que les douleurs ont été améliorées. C’est donc en travaillant le cou du patient que les douleurs ont été améliorées pour son épaule et pour son coude droits, en effet, le nerf était bien pincé au niveau de ses cervicales.

 

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La lomboradiculalgie correspond à une compression et/ou une irritation d’un nerf au niveau des lombaires. Elle donne généralement des douleurs aigues au bas du dos ainsi que des douleurs pouvant intéresser les fessiers, la cuisse, le genou, la jambe et parfois le pied et les orteils.

 

Voici les principaux facteurs pouvant amener au déclenchement d’une lomboradiculalgie :

– port de charges (+++).

– jardinage la veille.

– activité sportive ayant participé à inflammer le bas du dos (course à pieds, vélo).

– stress / chute sur les fesses /période de règles …

 

Comme pour tous les autres motifs de consultation, l’ostéopathe réalisera un interrogatoire afin d’identifier le facteur qui aurait pu déclencher ou favoriser ces douleurs-là (jardinage la veille ? ports de charges ? période de règles ? stress ?). Ensuite, l’ostéopathe vous fera réaliser des tests afin de vérifier ce qui provoque les douleurs connues (tests pour le dos ? tests pour le bassin ? douleurs en lien avec le ventre ?). C’est suite à la synthèse de tout cela, que l’ostéopathe définira la suite à donner pour la prise en charge de votre lomboradiculalgie. Il pourra vous prendre en charge en ostéopathie ou bien, s’il le juge nécessaire vous réorienter vers votre médecin traitant afin qu’il puisse vous prescrire des examens complémentaires et/ou des médicaments si nécessaire.

 

Ce qu’il faut savoir sur LES LOMBORADICULALGIES :

– On différencie la lombosciatique qui intéresse plutôt la partie postéro-latérale de la cuisse et de la jambe de la lombocruralgie qui intéresse plutôt le devant de la cuisse.

– La lomboradiculalgie n’est pas toujours liée à une hernie discale comme on pourrait le penser. Un léger pincement discal peut suffire à provoquer une lomboradiculalgie.

– L’inflammation participe généralement à donner la lombosciatique ou la lombocruralgie, d’où la bonne efficacité des anti-inflammatoires dans certains cas.

– Je déconseille aux patients de se faire manipuler pour leur dos si leur sciatique est en lien avec des problèmes de pincement discal et/ou d’hernie discale.

– Un travail viscéral peut dans certains cas suffire à calmer des douleurs de sciatique ou de cruralgie.

 

Voici quelques exemples de patients venus me consulter pour lomboradiculalgie :

Exemple 1 : Patient de 43 ans, cycliste, est venu me consulter en 2014 pour une lombosciatalgie gauche apparue au réveil ce matin. Les différents tests montraient que le nerf sciatique gauche était bel et bien en compression. C’est en débloquant la zone où le nerf sciatique pinçait que nous avons obtenu de bons résultats pour le patient. Ce blocage s’était créé avec le vélo réalisé la veille.

Exemple 2 : Patiente de 63 ans, coureuse à pieds, se présente avec une lombosciatique gauche. Cette patiente m’a été adressée par son médecin du sport. Celui-ci a conseillé à la patiente de venir me voir en ostéopathie car la radio lombaire ne montre aucune pathologie discale ou arthrosique. La patiente a été vue au cours de 2 séances d’ostéopathie. Avec un premier rendez-vous qui a permis de diminuer les tensions du muscle psoas gauche. Le deuxième a consisté en la normalisation d’une dysfonction vertébrale en L4/L5 à gauche. La patiente a pu reprendre l’activité sportive qui était la sienne avant l’apparition de cette lomboradiculalgie.

Exemple 3 : Patiente de 55 ans, mère au foyer, est venue me consulter pour des douleurs lombaires gauches associées à des douleurs postérieures de cuisse gauche. A l’interrogatoire, la patiente précise qu’elle a déjà connu ce type de douleurs il y a 2 ans. L’interrogatoire montre également que la patiente est sujette aux infections urinaires. Suite aux bons résultats obtenus aux tests de mobilité de son dos, j’ai décidé de faire pratiquer une analyse urinaire à la patiente. Celle-ci a permis de révéler une infection urinaire en cours, laquelle pouvait être à l’origine des symptômes actuellement décrits. J’avais donc bien fait de réorienter la patiente vers son médecin généraliste.

 

Voici en image le certificat de formation du CFPCO en lien avec la formation que j’ai réalisée en 2016 sur la prise en charge ostéopathique des lomboradiculalgies dont les sciatiques et les cruralgies font partie :

 

Certificat de formation CFPCO concernant la prise en charge en ostéopathie des névralgies cervico brachiales (NCB)

 

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Les douleurs abdominales correspondent au 3e motif de consultation le + rencontré en cabinet médical. Celles-ci peuvent aussi bien intéresser le côlon, l’intestin ou l’estomac …

Il faut savoir que l’on pointe très souvent du doigt le régime alimentaire en cas de douleurs abdominales alors qu’en réalité, le stress participe grandement à donner des douleurs au ventre. Plusieurs expressions populaires traduisent d’ailleurs cela : « Avoir l’estomac noué », «avoir une boule au ventre », « se faire de la bile » …

Voici les explications anatomiques permettant d’expliquer certains symptômes digestifs. Le système nerveux autonome (SNA) a pour mission de faciliter la digestion. En cas de stress, il pourra exister des dysfonctionnements pour ce système neurologique. Ceci pourra donc amener à des troubles digestifs tels que des douleurs d’estomac ou des douleurs d’intestin…

Il faut savoir que les nerfs qui régulent le système digestif partent des vertèbres du dos. En cas de dysfonctionnement vertébral, il pourra y avoir des troubles digestifs en rapport avec la vertèbre concernée. Et inversement, en cas de troubles digestifs répétés pour un même organe, il pourra se créer un blocage des vertèbres dorsales en rapport avec cet organe. En médecine chinoise, on attribue à chaque vertèbre du corps humain, un ou plusieurs organes. Pour exemples : Le foie peut être en lien avec les vertèbres dorsales N°7, N°8 et N°9. L’estomac peut être relié aux vertèbres dorsales N°5 et N°6. L’intestin peut être relié aux vertèbres dorsales N°10, N°11 et N°12.

Ce qu’il faut retenir des douleurs abdominales :

– Un traitement ostéopathique viscéral peut permettre d’améliorer ce type de symptômes.

– Les troubles digestifs peuvent être favorisés par des dysfonctionnements des vertèbres dorsales.

– Les manipulations vertébrales ont leur place dans certains cas de douleurs abdominales.

– Des troubles digestifs trop réguliers peuvent participer à faire mal au dos.

– Les médicaments permettent d’améliorer le confort de patients souffrant de troubles digestifs. En complément, l’ostéopathie peut permettre de travailler les zones qui se sont bloquées à cause du stress.

– Le régime alimentaire n’est pas l’unique facteur en cas de douleurs abdominales. Vous pouvez toutefois identifier les aliments qui déclenchent les maux de ventre et les éviter.

En cas de douleurs abdominales importantes et d’arrêt des matières et des gaz pendant plusieurs jours, il faut consulter un  médecin afin de vérifier s’il ne s’agirait pas d’un syndrome occlusif.

En cas de douleurs abdominales accompagnées de fièvre, je vous recommande de consulter votre médecin généraliste dès que possible.


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Un patient se plaignant de douleurs cervicales (ou de cervicalgie) peut être amené à consulter un ostéopathe. En effet, le médecin pourra conseiller à son patient de consulter un ostéopathe. Généralement, le médecin lui fait d’abord pratiquer des examens complémentaires ; sauf si de l’avis de celui-ci, cette douleur est d’origine musculaire.

Il est recommandé d’amener les examens complémentaires déjà réalisés pour le dos (arthrose ? pincement discal ? rectitude du rachis cervical ?). Les antécédents d’accident de voiture avec coup du lapin (+++) et/ou antécédents de NCB sont autant d’indications à réaliser des examens complémentaires pour votre colonne cervicale. Je recommande d’ailleurs aux patients ayant subi un accident de voiture de pouvoir réaliser une radiographie du rachis entier afin de pouvoir identifier d’éventuels problèmes vertébraux suite à cet accident. Ceci pourrait d’ailleurs s’avérer très utile pour les assurances !

En cas de cervicalgie, l’ostéopathe aura pour mission d’identifier l’origine des douleurs du patient (cause musculaire ? cause articulaire ? cause discale ? cause neurologique ?). L’ostéopathe réalisera différents tests afin d’identifier la cause des douleurs du patient.

Selon la cause des douleurs, l’ostéopathe adaptera ses techniques afin d’améliorer la situation douloureuse de son patient. En cas de symptomatologie discale, votre ostéopathe ne prendra aucun risque, il adaptera ses techniques afin d’optimiser vos chances de guérison. S’il le juge nécessaire, l’ostéopathe vous établira un courrier médical à remettre à votre médecin ; notamment si l’ostéopathe suspecte des signes de souffrance discale et/ou des signes de névralgie cervico brachiale (NCB).

Pour informations :

– Il n’est pas obligatoire d’avoir réalisé des radios du dos avant de consulter un ostéopathe. Lors de votre visite chez un ostéopathe, il est toutefois conseillé de ramener TOUS les examens complémentaires déjà réalisés par le passé.

– L’arthrose n’est pas une contre-indication à la prise en charge ostéopathique.

– L’existence de pincements discaux n’est pas une contre-indication à la prise en charge par un ostéopathe. Je recommande cependant d’éviter toutes techniques de manipulation qui pourraient mettre en jeu les disques douloureux. D’autres techniques peuvent être utilisées autrement, sans qu’il y ait à mobiliser la zone du disque.

– Certaines douleurs cervicales peuvent être liées à des problèmes de diaphragme, d’estomac ou de foie.

– Votre positionnement devant ordinateur peut contribuer à favoriser l’apparition de douleurs cervicales (tensions des trapèzes, névralgie d’Arnold…). Vous trouverez ici quelques conseils par adapter au mieux votre position devant un ordinateur.


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Les céphalées ou maux de tête donnent souvent lieu à une prise de médicaments afin de soulager les douleurs. Certains maux de tête peuvent être pris en charge en ostéopathie (en complément des médicaments déjà prescrits par votre médecin). En effet, il existe des céphalées d’ordre mécanique (en rapport avec des tensions musculaires du cou et/ou des trapèzes), des céphalées hormonales (en lien avec le cycle menstruel par exemple ou en lien avec la ménopause). Il a été remarqué que dans de nombreux cas de MIGRAINES, la composante hormonale peut favoriser ou entretenir les fortes céphalées connues par certaines patientes. Des techniques sur le foie pourraient permettre d’améliorer le drainage veineux à l’origine de céphalées hormonales et/ou de céphalées veineuses.

Il existe environ 15 types de céphalées. L’interrogatoire réalisé en début de séance par l’ostéopathe permettra de cibler vos symptômes et le type de céphalées vous concernant. Les différents tests réalisés par la suite auront pour but de cibler d’éventuels blocages mécaniques qui pourraient favoriser vos maux de tête (exemple : tensions dans les trapèzes, tensions dans les cervicales et/ou dans les épaules). Le traitement ne fera pas forcément appel à des manipulations articulaires ou vertébrales. D’autres techniques à visée musculaire pourraient permettre de détendre les muscles favorisant l’apparition de vos maux de tête (on appelle alors ces maux de tête : céphalées de tension).

En cas d’apparition de maux de tête suite à un choc ou suite à un traumatisme crânien, il est impératif de consulter au plus vite un médecin afin d’exclure toute gravité liée au traumatisme crânien.

 

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Le golf elbow correspond à une tendinite du coude que l’on peut se faire lors de la pratique du golf. Le golf elbow peut tout à fait intéresser les salariés qui travaillent sur ordinateur. L’utilisation prolongée de la souris et/ou du clavier participe à contracter certains muscles de l’avant-bras qui remontent jusqu’au coude. L’utilisation trop fréquente de ces muscles va pouvoir déboucher sur l’apparition d’une tendinite. Etant donné que ce sont les postures et les mouvements répétés au travail qui procurent la tendinite, il est donc très difficile de pouvoir faire disparaître ces douleurs sans intervention médicamenteuse et/ou paramédicale. Le repos strict étant bien évidemment pas toujours possible.

Les examens complémentaires ne sont pas forcément nécessaires quant au diagnostic de golf elbow ; un examen clinique du patient peut suffire à identifier le ou les tendons en rapport avec la tendinite de coude. Il s’agira ensuite de pouvoir identifier les mouvements qui participent ou qui ont participé à provoquer la tendinite. Votre ostéopathe pourra vous conseiller au mieux afin d’améliorer votre posture au travail et ainsi réduire les douleurs, et surtout empêcher que la tendinite puisse être entretenue par de mauvaises actions répétées lors de votre travail.

Pour rappel, voici les principaux facteurs pouvant amener à un golf elbow :

– golf.

– utilisation de la souris d’ordinateur (++).

– actions de vissage / dévissage (montage de meubles, travaux à la maison).

– porter son nourrisson.

– gros efforts inhabituels (tronçonner un arbre, tailler la haie …).

Pour information, il n’est pas nécessaire d’avoir consulté un médecin au préalable et/ou d’avoir réalisé des examens complémentaires avant de consulter un ostéopathe.

Il est difficile de prévoir le nombre de séances nécessaire pour une tendinite : cela peut dépendre du nombre de tendons concernés, du degré d’inflammation et de la durée de la tendinite. Certaines tendinites peuvent nécessiter la collaboration d’un kinésithérapeute et/ou une prise en charge par allopathie afin de réduire l’inflammation du coude.

Voici l’exemple d’une patiente venue me consulter pour un golf elbow :

Exemple : Patiente de 31 ans, hôtesse de l’air. La patiente se plaignait de douleurs à la partie interne de son coude et de son avant-bras droits. C’est lorsqu’elle tenait son bébé dans les bras que la douleur était la plus forte. C’est en traitant le muscle fléchisseur ulnaire du carpe qui s’insère sur la partie interne du coude, que les douleurs ont fini par disparaître.

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Le syndrome du canal carpien correspond à une irritation et/ou une compression du nerf médian, dans 90% des cas au niveau du poignet.

La compression de ce nerf conduit généralement à des sensations de fourmillements/picotements dans les doigts. C’est principalement la nuit que ces signes sont ressentis. Je préconise aux patients de pouvoir identifier les doigts qui fourmillent et picotent, et voir si cela concerne la paume de main et/ou le dos de la main. Ceci permettra de pouvoir confirmer qu’il s’agit bien d’un problème en lien avec le nerf médian.

Voici les circonstances pouvant amener à une irritation de ce nerf et que l’ostéopathie peut traiter :

– si le patient exerce un travail manuel.

– compression du nerf au niveau du poignet (karting, haltérophilie …).

– troubles du retour veineux et/ou dérèglements hormonaux (grossesse, ménopause …).

Si les symptômes sont pris suffisamment tôt, l’ostéopathie peut suffire à améliorer et/ou à faire disparaître les signes en rapport avec un syndrome du canal carpien. L’ostéopathe réalisera des tests qui lui permettront d’évaluer le stade d’évolution de votre syndrome du canal carpien. En fonction des résultats des tests et en fonction des résultats du traitement ostéopathique, l’ostéopathe pourra poursuivre sa prise en charge ostéopathique ou bien vous conseiller de pouvoir consulter un médecin.

Le test qui est le plus fréquemment utilisé pour vérifier ce diagnostic est l’EMG (ou électromyogramme). Cet examen permet de vérifier si l’électricité véhiculée par les nerfs, arrive suffisamment et correctement dans les muscles de la main.

La thérapie manuelle (dont l’ostéopathie fait partie) et l’infiltration du poignet correspondent à des solutions envisageables afin d’améliorer le syndrome du canal carpien. En cas de stade avancé avec présence de troubles moteurs (exemples : sensation de perte de force musculaire, paralysie…), une opération pourra correspondre à la meilleure solution. Il n’est pas rare que le syndrome du canal carpien puisse intéresser les 2 poignets, l’un après l’autre. Il n’est donc pas rare d’opérer les 2 poignets.

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Les femmes sont de plus en plus suivies par des ostéopathes durant leur grossesse. Je conseille aux femmes enceintes de consulter après la fin du premier trimestre de grossesse. Il n’existe pas de contre-indication à venir consulter un ostéopathe dans les 2 derniers mois de la grossesse. A savoir, qu’il est plus facile d’agir en ostéopathie au 7e mois de grossesse plutôt qu’au 9e mois de grossesse, où l’utérus est déjà beaucoup plus volumineux. Il ne faut donc pas attendre le dernier moment avant de consulter un ostéopathe. Un rendez-vous prévu aux alentours du 6e ou 7e mois de grossesse pourrait permettre de préparer au mieux l’accouchement à venir, en détendant le diaphragme par exemple.

L’ostéopathe fera le nécessaire pour votre confort et il s’adaptera à vos symptômes afin de tenter de vous soulager au mieux pour la suite de votre grossesse. N’hésitez pas à lui donner votre ressenti au cours de la séance, afin que celui-ci puisse vous soulager du mieux possible.

 

Voici quelques motifs récurrents que l’on observe lors de la grossesse et que l’ostéopathie peut améliorer :

– reflux / remontées acides en lien avec les tensions exercées sur l’estomac.

– nausées en lien avec les tensions exercées sur le foie.

– douleurs du milieu du dos, par compression du diaphragme par les organes et/ou l’utérus plus volumineux.

– douleurs du dos en lien avec des tensions musculaires.

– douleurs lombaires, généralement causées par la cambrure des lombaires, qui est majorée durant la grossesse.

– douleurs lombaires à cause de problèmes de retour veineux.

– douleurs du bas du dos en lien avec les tensions ligamentaires.

– la sciatique à cause de problèmes de retour veineux et/ou à cause de tensions fessières.

 

Suite à l’accouchement, je recommande aux mamans de pouvoir réaliser une rééducation périnéale avec une sage-femme. En effet, même si l’accouchement s’est effectué par césarienne, il ne faut pas oublier que l’enfant a pesé durant 9 mois sur votre périnée !

 

Je recommande vivement de pouvoir consulter un ostéopathe, environ 6 à 8 mois après l’accouchement afin de vérifier :

– que tous les organes (intestin, utérus …) ont retrouvé leur positionnement initial.

– qu’il n’existe pas de blocage articulaire consécutif à l’accouchement.

– à savoir, que la cicatrice de césarienne peut tout à fait contribuer à provoquer des douleurs lombaires dans les mois ou années qui suivent un accouchement, d’où la nécessité de tester et de travailler les adhérences de cette cicatrice si cela était nécessaire.

– la zone de péridurale. Il n’est pas rare que cette zone reste sensible plusieurs mois ou plusieurs années après la péridurale.

 

En cas de doute concernant des symptômes ressentis durant votre grossesse, contactez ou demandez conseil auprès de votre médecin traitant et/ou de votre gynécologue.

 

Retrouvez ici une interview à laquelle j’ai participé. Cette interview concerne la prise en charge en ostéopathie des femmes enceintes. Vous retrouverez ici des conseils pour améliorer le déroulement de votre grossesse.

 

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